Aller au contenu

Qui suis-je ?


⬆️ Mon tout premier site en 2017 :
la e-boutique de TOWT, transporteur de marchandise à la voile

Je m’appelle Emilie.

J’ai créé mon premier site Internet en 2017. 

Enfin, pas exactement…

Je dirais plutôt que c’est le premier site Internet que je crée pour un client. 

2017 : c’est l’année où je deviens freelance en création de site Internet.

Mais je réalise rapidement que c’est à travers la rédaction que j’apporte le plus de valeur dans la création d’un site Internet. 

Je décide donc de consacrer les années qui suivent à comprendre comment écrire les meilleurs textes possibles pour les entreprises que j’accompagne. Le plonge dans le vaste sujet du copywriting, du marketing de contenu, du référencement, du storytelling, de la rhétorique…

Ma rencontre avec le web low-tech

Quelques années plus tôt, en 2015, je décide de faire mon projet de fin d’étude sur l’impact écologique du numérique. C’est à ce moment-là que je découvre le travail de Frédéric Bordage (Green IT), de François Berthoud (EcoInfo) ou encore de Philippe Bihouix (L’âge des low-tech).

Ce travail de synthèse me permet de prendre conscience des ordres de grandeur.

  • Dans l’analyse du cycle de vie, la phase de fabrication est la plus polluante. Il faut donc faire durer le plus longtemps possible nos ordinateurs et nos téléphones.
  • Le poids moyen des pages Internet ne cesse d’augmenter. Il a été multiplié par 5 en 10 ans, passant de +/- 500 Ko en 2012 à +/- 2,4 Mo en 2022.

Le poids d’une page (ou le poids des données transférées) est l’un des principaux facteurs qui entrent dans le calcul de l’empreinte carbone d’un site.

Pourtant, héberger du texte ne pèse presque rien. Et le poids d’une page n’est en rien un gage de qualité.

En réunissant compétences techniques en écoconception et compétences rédactionnelles, on peut drastiquement baisser l’empreinte carbone d’un site, tout en le rendant plus agréable à utiliser et plus pertinent pour le visiteur.

Un texte bien écrit permet notamment :

  • de remplacer des images, vidéos ou choix esthétiques énergivores ;
  • de mieux référencer le site dans Google et ainsi de toucher une plus vaste audience pour partager des connaissances ou diffuser un message.

Le marketing low-tech

C’est ainsi que mes compétences en rédaction et le web low-tech ont fini par se rencontrer. 

Et c’est tout l’objet de ce site : partager aux entrepreneurs de la post-croissance les outils du marketing low-tech. 

Retrouvez mes principaux articles sur le sujet :